Journal d'une apprentie, cinquième partie
Je suis franchement déçue de voir aussi peu de soutien de la part des libristes que Benjamin a tant aidé (avec ce blog ou d'autres choses).
Je ne m'attendais pas à une révolution mais au moins, quelques petits mots gentils. Et bien, il n'y a eu ni mots (sauf exception), ni action !
Si c'est ça, le partage, l'entraide et compagnie, je préfère rester sous 7.
Au cas où Scurz, le monarque du libre passerait dans le coin : tu n'es qu'un benêt qui se fait passer pour ce qu'il n'est pas,
et ne sera jamais ! Qui fait le fier parce qu'il a volé pris le flambeau d'un truc énorme ! Mais n'oublie pas que ce que tu diriges aujourd'hui, tu ne l'as pas créé et tu l'as volé. Avec ton comportement de petit chef vaniteux, tu fais fuir tout ceux qui étaient là dans ce beau projet et bientôt il coulera, et ce sera ta faute. Quand je pense que Benjamin voulait la pérennité de son projet, j'ai honte pour toi.
Sur ce, bon vent à tous.
Elodie
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