L’interopérabilité pourrait elle passer par Linux ?

Je lisais encore ce matin un article évoquant la possibilité d’exploiter des applications windows sur un bureau linux (voir ulteo, synstancia etc…)

J’en rage un peu de voir qu’il a fallut attendre le début d’une nouvelle décénie avant que l’on voit des applications crédibles aller dans ce sens… J’en veux un peu à mandriva sur ce coup là parce que dans les specs edu de 2008 ce point été abordé. En effet de nombreux utilisateurs et administrateurs avaient évoqués le fait qu’un bureau linux sans prise en charge des applications windows était voué a rester limité pour ne pas dire confidentiel (au moins dans l’éducation nationale).

2 exemples à cela  (1 en autonome sur les postes et un client/serveur):

1- l’application permettant de faire passer le brevet de sécurité routière (obligatoire) fournie par le ministère est exclusivement sous windows (et il y en a d’autres…)

2- La salle multimédia, le labo langue etc… sont vendu par le prestataire sous windows uniquement.

Alors comment faire ?

Les solutions préconisés étaient une intégration native d’un émulateur windows (wine pour les versions free et code weavers pour la power pack puisque il y a un partenariat commercial) pour les postes nomades utilisant des applications autonomes. Une intégration native signifiait que le lancement d’une application ou de son installation devait apparaître dans une fenêtre identique à celle d’une application linux et que les raccourcis ne devaient pas figurer dans un onglet wine mais dans les menus classiques de la distribution.

Deuxième solution (complémentaire) la possibilité de lié un bureau linux à un serveur TSE afin d’executer les applications windows ne passant pas sur un émulateur ou de type client serveur et déporter la fenêtre de manière transparente sur le bureau (ce que fait syntancia ou ulteo).

Dans les 2 cas le but recherché est le même :

1- Faire de linux un système ouvert dans le sens de l’interopérabilité dans son utilisation

2- Limiter le nombre de système propritaire tout en comblant le besoin de l’utilisateur

3- Donner comme vu à l’utilisateur un système linux (graphiquement) avec ces logiciels habituelles quelques ils soient…

Alors tout cela est bien sur discutable dans le principe. Doit on Faire un mélange des genres ?

Forcé de constater que tout les linux confondu ça ne represente même pas le parc de windows vista alors que l’on sait bien se que tout le monde en pense…

Alors M. et Mme (pas oublier Anne) Mandriva, c’est quand que vous jouerez (au moins pour la powerpack) la carte de l’interopérabilité ?

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Publié par Jeff : 33