Les filles ne comptent pas pour des pêches

peche{.left} Ah, la cérémonie du mariage : les sourires (faux-culs ?), la boisson, les histoires, … les demoiselles d’honneur qui détestent toutes la mariée … C’est ainsi que nous faisons la connaissance de cinq demoiselles d’honneur, au fil de la pièce d’Alan Ball, 5 filles couleur pêche. Entre alcool et joints, déboires amoureux, vies sexuelles compliquées mais débridées, relations avec la mariée, hommes à femmes, … elles nous font vivre leurs sentiments et ressentiments. Tous les sujets y passent, même les plus sérieux, déclenchant l’hilarité du public. Comment garder son sérieux quand on les voit toutes plus folles les unes que les autres, rêvant de leurs ébats dans les poubelles ou utilisant la religion comme excuse à tout et surtout à la niaiserie. On ne peut que se rompre de rire de leurs extravagances et leurs folies. Personnellement, la seule critique que je ne me suis pas gêné de dire aux filles : c’est trop court, on avait encore le temps ! Il ne vous reste qu’une seule et unique représentation parisienne, le 24 juin. C’est au Sonar(t) à Pigalle, c’est gratuit (enfin boisson obligatoire et chapeau pour les filles). A voir. Sinon, vous pourrez les suivre à Avignon cet été !

Vus : 90
Publié par Francois Aichelbaum : 171