Analogie de programmation

Tombé un peu par hasard sur un billet, dont l’original, écrit en anglais, peut être lu sur le blog de l’auteur, je n’ai pas résisté à faire une petite traduction du billet au ton léger. Je le trouve amusant, montrant du doigt une culture présente dans la programmation, mais également dans d’autres communautés.

Voici la traduction intégrale :

Ok, j’ai trouvé un exemple.

La programmation, c’est comme faire un sudoku géant. Mais tu ne fais pas simplement tes propres carrés, tu dois t’aligner aussi avec les bords des autres carrés que tu as déjà fais, ou des carrés de personne de ton équipe sont en train de faire.

Et ce n’est pas simplement des carrés que tu as fait, tu dois anticiper les sudokus que tu ferras pendant des jours, des semaines ou des mois, et laisser des nombres faciles sur les bords pour que ce ne soit pas impossible de continuer.

Et c’est pourquoi certains programmeurs sont tellement absorbés par ça, en sont si excessif, parce qu’ils sont du genre « t’as laissé un 5 au milieu de ton carré, quel genre d’idiot ferait ça, maintenant, va falloir que j’aligne tout mes carrés avec ça »

Puis, quelqu’un trouve un bogue, vous devez retrouver le carré d’où il provient, et alors le refaire sans ruiner tout les autres carrés.

Après quelques heures sur ça, tu vas surfer sur facebook et sur messagerie instantanée, ou tu commences à te faire pousser une barbe que t’oublies de laver, et commences à devenir étrangement possédé par star wars, les gens te regardes bizarrement, et sont du genre « pourquoi tu t’en préoccupes autant ? » Et aux travers d’yeux chassieux et rougie par la folie, tu réponds « Les carrés, ne vois-tu donc pas ? Les carrés, ils sont magnifiques »

Et c’est pourquoi les programmeurs ne sont jamais invités aux soirées.

Quelle était la question déjà ?