[TEST] Partons à la découverte de Jolicloud 1.0

Comme je vous le disais Jolicloud 1.0 est désormais disponible. Je vous propose donc de brièvement découvrir cet OS pour Netbook léger, rapide et on the cloud.

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Pour ce test, j’ai fait fonctionner jolicloud sur une machine virtuelle. Je ne profite donc pas des optimisations destinées aux netbooks et je ne pousserais pas jolicloud dans ses retranchements. Il s’agit juste d’une petite découverte afin de se familiariser avec son interface et son mode de fonctionnement.

Même via une machine virtuelle, le démarrage est plutôt rapide. Plus que pour Ubuntu Netbook Remix qui est déjà fort véloce à se lancer. Un bon point!

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Pour profiter de son PC, on se connecte via son compte Jolicloud (que l’on peut créer depuis l’OS). Le compte peut aussi être rattaché à son compte facebook.

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Lors de notre première connexion, Jolicloud va nous proposez de faire connaitre Jolicloud à vos contact. Bonne idée pour une promotion par le bouche à oreilles.

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En haut de page, le bandeau de proposition de traduction et d’enregistrement de mot de passe nous permet de constater que Jolicloud est bel est bien basé sur Google Chrome. Ce choix stratégique permet un support du HTML5, autour duquel est architecturé Jolicloud, et une grande vitesse d’exécution.

Une fois cette phase d’authentification passée on accède à la fenêtre principale de jolicloud. Via celle-ci on profite de ses applications.

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Parmi celles-ci, on retrouve un petit jeu space invaders qui va illustrer les capacités du HTML5.

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Les applications sont gérables via le petit bouton Add en haut à gauche de son écran. Celui-ci nous donne accès à la bibliothèque d’applications (500 à l’heure actuelle) pour gérer les installations/desinstallations/mises à jour. Une petit rond orange en haut à droite de son écran nous indique quand une installation a lieu.

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Retournons maintenant dans le menu principal. Celui-ci est surplombé par une zone de recherche. Elle fait office de moteur de recherche local (données et applications internes) et web.

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Du reste, on accède par une barre de menu en haut à gauche aux options de comptes, au informations relatives à la machine et à son explorateur de fichier.

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A force de lui casser les pied, j’ai tout de même réussi à planter Jolicloud (reboot obigatoir, machine totalement figée). Rien de bien méchant, d’autant que je tournait en live sur une machine virtuelle, mais ca m’a amusé. Du reste, je ne trouve pas que l’on ait à déplorer un quelconque manque de stabilité de Jolicloud.

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Bien que Jolicloud soit un GNU/Linux, je n’ai pas trouvé comment accéder à la console et n’ai pas eu l’occasion de mettre les mains dans le cambouis, dommage. Mais cela rassurera sans doute Monsieur tout le monde (le mari de Mme Michu) qui veut que son système soit simple d’accès. Sur ce point Jolicloud fait fort puisque cet OS est d’une simplicité déconcertante. On s’y retrouve très intuitivement. Un énorme travail d’ergonomie a été réalisé. Je pense que ce genre d’OS a tout à fait sa place dans le monde des netbooks et pourrait faire un malheur sur une tablette tactile!

Pour vous faire une petit idée du fonctionnement de cet OS, je vous ai aussi fait un petit screencast :

 

Agréable comme OS n’est ce pas? Si vous hésitez, sachez que vous pouvez le tester comme moi via un live USB. Toutes les informations à cet effet sont disponibles sur le site de Jolicloud. Vous seriez surpris de vite vouloir installer Jolicloud sur votre netbook une fois y avoir gouté!

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