Troll : elementaryOS pourquoi pas ?
Je n'aime pas Gnome-Shell. Je n'aime pas Unity, l'interface de Ubuntu entre autre à cause de certains détails. J'aime elementaryOS♡. Je trouve Pantheon♡ très intéressant, le menu Applications♡ très bien pensé, le système rapide♡, simple♡, efficace♡,… mais je ne l'utilise pas ! Je l'ai mis sur un poste spécifique et je joue régulièrement avec dans une machine virtuelle mais je ne l'ai pas encore installé sur mes machines principales. Pourquoi ? Parce que j'attends que certains minuscules détails agaçants disparaissent :
- Scratch l'éditeur de texte coupe les mots n'importe où au retour à la ligne, impossible de lui dire de ne couper les lignes qu'aux espaces. Il y a de nombreuses applications elementaryOS géniales où une option qui me semble évidente manque.
- Le lecteur de musique ne gère pas mon téléphone, le calendrier Maya ne gère pas Google Calendar ou son équivalent Owncloud,… en gros et pour caricaturer dans un but de clarté : Dans mon réseau local, elementaryOS me semble plus ou moins autiste… Personnellement je rêve de voir une bien meilleure interaction entre les machines d'un même réseau (comme le montre ce rapport de bug ou cette maquette de logiciel).
- Empathy est moche : Pas de thème esthétique pour les conversations, des cercles de couleurs différentes pour définir le status (daltoniens passez votre chemin) alors qu'il est beau sous Ubuntu…
- Mon système est configuré pour être en français, pourtant seul les dicos anglais sont installés…
- Le système de notifications pantheon-notify semble extra mais n'est pas encore celui utilisé par défaut. De nombreuses choses me semblent prometteuses mais ne sont pas encore prêtes.
Ce ne sont que quelques exemples de ce qui fait qu'au final, elementaryOS ne me donne pas satisfaction pour le moment. Patience donc… Et vous ? Je suppose que chacun dans les commentaires m'expliquera qu'il est pleinement satisfait de son système, vantant les mérites de Mate, de Cinnamon, de KDE, de XFCE, de LXDE, de Gnome-Shell, de Unity,… Il faut croire que je suis un râleur.