Quelle "contrepartie" pour le flux ?

La monnaie une dette ? Vraiment ? Mais quel genre de dette les nouveaux nés auraient-ils relativement aux morts ?

Quelle genre de dette relative au fleuve d’hier auraient les particules du fleuve présent ?

Cascade (wikimedia)

 La compréhension du flux temporel humain induit celle de la symétrie temporelle de la monnaie, qui est l’expression de la transmission générationnelle de la non-propriété de la matière originelle.

Le flux temporel humain a une vitesse d’évolution mesurable. La mesure de cette vitesse permet d’établir la vitesse relative conforme du flux économique et donc du flux monétaire relatif à la régénération totale d’une société humaine au bout d’une espérance de vie.

Qu’est-ce que la monnaie ? Si l’on compte les particules du fleuve, l’une après l’autre, en quoi cela change-t-il la nature de la cascade alors que l’on compte la première, la centième, la millième ou la milliardième ?

Le nombre ainsi compté a-t-il quelque effet que ce soit sur la nature de la cascade ?

Celui qui veut dépasser les concepts erronés ne doit-il pas distinguer profondément le nombre de la réalité expérimentale, le concept de l’expérience ?

Qu’est-ce que l’expérience si ce n’est une succession d’instants de mesure intégrés de proche en proche ?

Quel être humain échappe à la mort ?

Pourquoi donc s’attacherait-il au nombre 100 plutôt qu’au nombre 1000 ou 100 000 ? De morts en renaissances où est donc l’origine du flux ?

La Théorie Relative de la Monnaie démontre que les seuls systèmes monétaires cohérents avec les trois libertés économique et le principe de relativité dans l’espace-temps, sont les systèmes monétaires à dividende universel dont le taux est une fonction déterminée de l’espérance de vie.

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Publié par Monnaie libre : 199